Ouvrir l'application
Ouvrir l'application
Pour un fonctionnement optimal de l'application, veuillez activer JavaScript.
Accueil
Espace de travail
Recherche
Invite
Préférences
Connexion
Espaces de publication
Mémoires
Public
Thèses
Copier
Supprimer
Modifier
Déplacer vers le dossier en cours
Coller
Renommer
Voir
Droits d'accès
Télécharger
Workflow
Verrouiller
Déverrouiller
Prévisualisation
Email
Base documentaire
Espaces de publication
Mémoires
Un regard occidental ? Hétérogénéité des images et réflexivité dans Serras da Desordem, d'Andrea Tonacci
Un regard occidental ? Hétérogénéité des images et réflexivité dans Serras da Desordem, d'Andrea Tonacci
Plus
Suivre ce document
Export
Imprimer
Résumé
Relations
Contenu
Fichier principal
2024 CHINENCristian REG.pdf
8 Mo
Propriétés
Attention tout dépôt est définitif, doit être conforme à la version papier déposée et respecter le code de la propriété intellectuelle.
Type de document
Master 2 recherche
Titre
Un regard occidental ? Hétérogénéité des images et réflexivité dans Serras da Desordem, d'Andrea Tonacci
Directeur du mémoire
Joseph Moure
Prénom
Joseph
Nom
Moure
Co-directeur à Paris 1
Prénom
Nom
Co-directeur extérieur
Prénom
Nom
Fonction
Courriel
Résumé
Ce mémoire analyse comment la juxtaposition de diverses hétérogénéités dans « Serras da Desordem », d’Andrea Tonacci, concourt pour l’établissement d’une réflexivité qui questionne le film lui-même et le cinéma en général dans son rapport de représentation de l’autre. En l’occurrence, le protagoniste du film Carapiru, membre d’un peuple autochtone du Brésil, les awá-guajá. À partir d'une approche théorique mêlant analyse filmique et concepts anthropologiques comme altérité et ethnocentrisme, ce travail explore la manière dont Tonacci, à travers la juxtaposition d’éléments hétérogènes, au niveau micro de la concaténation des plans au macro de l’organisation du récit, établit une identité à l’énonciation du film et, par conséquent, une relation d’altérité à son protagoniste. « Serras da Desordem » questionne les frontières entre fiction et documentaire, réel et réalisme et, ainsi, sa place en tant que médiateur dans la représentation filmique. Les conclusions montrent que l’énonciation de « Serras da Desordem » se construit dans une ligne ténue entre le personnel et le collectif, dans une relation de mouvement double entre le cinéaste et le représenté. En dépit d’être un phénomène de la culture occidentale, le cinéma est capable de mettre en scène une multiplicité hétérogène de points de vue qui, éventuellement, peut se rapprocher d’une vision du monde prônée par d’autres cultures.
Résumé autre langue
Sujets
Mots-clés
Serras da Desordem
Andrea Tonacci
Cinéma brésilien
Identité
Énonciation
Regard
Peuples autochtones
Fichier PDF
2024 CHINENCristian REG.pdf
Pièce(s)-jointe(s)
Propriétés générales
Droits
enLigne
Créé le
15/10/2024 20:35
Dernière modification
24/06/2025 17:10
Langue
fre
Auteur
cchinen@univ-paris1.fr
Contributeurs
cchinen@univ-paris1.fr
,
Nathalie Tenoux
et
Patricia Bourgoint
Dernier contributeur
Patricia Bourgoint
Sections locales (Université Paris 1)
Espaces de publication>Mémoires
0.4
Ce mémoire analyse comment la juxtaposition de diverses hétérogénéités dans « Serras da Desordem », d’Andrea Tonacci, concourt pour l’établissement d’une réflexivité qui questionne le film lui-même et le cinéma en général dans son rapport de représentation de l’autre. En l’occurrence, le protagoniste du film Carapiru, membre d’un peuple autochtone du Brésil, les awá-guajá. À partir d'une approche théorique mêlant analyse filmique et concepts anthropologiques comme altérité et ethnocentrisme, ce travail explore la manière dont Tonacci, à travers la juxtaposition d’éléments hétérogènes, au niveau micro de la concaténation des plans au macro de l’organisation du récit, établit une identité à l’énonciation du film et, par conséquent, une relation d’altérité à son protagoniste. « Serras da Desordem » questionne les frontières entre fiction et documentaire, réel et réalisme et, ainsi, sa place en tant que médiateur dans la représentation filmique. Les conclusions montrent que l’énonciation de « Serras da Desordem » se construit dans une ligne ténue entre le personnel et le collectif, dans une relation de mouvement double entre le cinéaste et le représenté. En dépit d’être un phénomène de la culture occidentale, le cinéma est capable de mettre en scène une multiplicité hétérogène de points de vue qui, éventuellement, peut se rapprocher d’une vision du monde prônée par d’autres cultures.
Créé par
cchinen@univ-paris1.fr
15/10/2024 20:35
Version 0.4
État
enligne
Workflow
Aucun processus ne peut être démarré sur ce document.
Contributeurs
cchinen@univ-paris1.fr
Nathalie Tenoux
Patricia Bourgoint
Tags associés